10 octobre 2006

Contrariétés

C'est étrange comme le désir va et vient... Ces jours-ci, je suis plein d'allant et je ne cesse de solliciter ma douce pour des câlins que je m'égarerais à trop décrire ici. Parfois, c'est niet. Trop fatiguée, pas la tête à ça. Dimanche soir, le petit avait 39 de fièvre. Je l'ai dûment paracétamolisé, il s'est finalement endormi. Je suis redescendu, j'ai passé quelques minutes avec elle. Elle a abandonné l'ordinateur. Le temps de lire mes emails et de monter, elle dormait... Frustré, j'ai mis une bonne heure à m'endormir...

La nuit, je me suis levé à plusieurs reprises pour vérifier la température du bonhomme. Cela s'est terminé vers 3 heures par une nouvelle prise de paracétamol. Comme il tardait à "refroidir", j'ai ajouté un gant humidifié à l'eau froide sur son front. Je suis resté avec lui deux bonnes heures. Le matin, j'avais quand même envie de rendre un vibrant hommage à ma tendre épouse. Mais non, quand les enfants sont malades, sa libido bat en retraite.

Je suis resté la matinée avec le petit. Heureusement, manouvelleboite m'a fourni un PC portable sur lequel je peux travailler à la maison. L'après-midi, je suis allé au travail. Je suis rentré tard, la petite famille m'attendait pour dîner. Les enfants étaient heureux de partager leur repas avec moi. Elle portait un de ces petits hauts noirs qui la mettent aussi bien en valeur... Cela m'a ouvert l'appétit. Mais voilà, je suis monté dans la chambre... j'ai attendu une heure et elle était encore en bas... Elle sera monté plus tard, épuisée, fatiguée, pas envie, et si j'insiste, "mais comment fais-tu pour... c'est une maladie..."

Eppure l'amo...

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