20 septembre 2006

Langues

C'est la semaine tchèque. Après deux jours de relecture partielle de Dedictvi reci (l'héritage de la langue, d'Igor Nemec, Jan Horalek et autres), je lis un recueil de nouvelles de Brian Aldiss traduit en tchèque.

Première citation intéressante : Pour comprendre le sens des mots, il faut être imprégné de la culture correspondante. Mais comment comprendre une culture sans en connaître la langue.

Mais avant même les nouvelles, la préface de l'auteur contient des choses dignes d'intérêt : alors que la littérature sur l'écriture romanesque pourrait constituer une énorme bibliothèque, celle concernant les nouvelles est beaucoup moins volumineuse. Pourquoi ? Parce que les nouvelles n'ont pas besoin de rechercher une vérité, juste de sembler vraisemblables (et pour la science-fiction, de sembler vraisemblables dans l'avenir)...

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