8 avril 2007

Au bord de la crise de nerfs

Un week-end de trois jours au vert, et me voilà sur le point de craquer… intérieurement cela va de soi, même si les signes extérieurs ne trompent pas : énervement, fatigue excessive, tronche de 2 km… Si j’ai accepté avec plaisir de passer quelques heures au volant pour amener ma petite famille un peu plus loin de la maison, c’est qu’en ce printemps post nouvel emploi en septembre, pas de congés, donc pas de vacances pour ces modèles pour piles alcalines que sont mes petits loups…

Un week-end pascal dans un gîte, loin du cadre de la maison, un planning assez chargé, et me voilà à la ramasse, épuisé au point de me coucher un dimanche soir à 21 heures, alors que la chambre est juste à côté du séjour où ma chérie fait de la résistance devant la télévision insipide. Surtout, pas un instant de répit, même dans nos visites, mon seul arrêt devant une vidéo intéressante a duré environ 2 minutes, interrompues par un « tu viens, les enfants sont déjà sortis… »

Il va de soi que mes faibles capacités communicantes sont encore en-dessous dans ces circonstances, alors qu’un simple dialogue aurait certainement suffi à recadrer les choses.

Heureusement, il y aura la semaine prochaine au travail, avec des échéances lourdes en termes de fin de projet, pour décompresser ;-(

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