17 janvier 2008

Sarkozy athée

Il a déclaré : "Dieu qui n'asservit pas l'homme mais qui le libère (...). Ce n'est pas le sentiment religieux qui est dangereux. C'est son utilisation à des fins politiques régressives au service d'une nouvelle barbarie. (...) Le sentiment religieux n'est pas plus condamnable à cause du fanatisme que le sentiment national ne l'est à cause du nationalisme."
Sa politique d'asservissement (des travailleurs : suppression des RTT, voire de la limitation du temps de travail, rallongement de la durée du travail avant la retraite...) en fait donc le chantre de l'athéisme. Ou alors j'ai mal compris sa dernière phrase : il avoue être à la fois fanatique et nationaliste ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire