 indices l’indiquent, était de remettre en cause la libération d’une otage médiatique. Car, dans ces conditions, cette libération aurait redoré la réputation d’une guérilla en perte de vitesse ; elle aurait été porté au crédit de l’Equateur, du Venezuela et de la France." Voici comment, avec l’assistance empressée de ce grand humaniste de George W. Bush, le président colombien, responsable des escadrons de la mort massacrant paysans réputés proches des FARC, syndicalistes et militants de gauche - ce qui lui vaut d’être représenté par certains opposants sous les traits d’un clone d’Adolf Hitler -, a sciemment empêché la libération de Betancourt ! Ce qu’avait du reste vigoureusement dénoncé le président équatorien Correa : "Regardez la bassesse d’Alvaro Uribe, il savait qu’en mars douze otages allaient être libérés, parmi eux Ingrid Betancourt. Il le savait et il a utilisé ses contacts pour monter ce traquenard et faire croire au monde qu’il s’agissait de contacts politiques et pour lancer un écran de fumée sur son action injustifiable".
indices l’indiquent, était de remettre en cause la libération d’une otage médiatique. Car, dans ces conditions, cette libération aurait redoré la réputation d’une guérilla en perte de vitesse ; elle aurait été porté au crédit de l’Equateur, du Venezuela et de la France." Voici comment, avec l’assistance empressée de ce grand humaniste de George W. Bush, le président colombien, responsable des escadrons de la mort massacrant paysans réputés proches des FARC, syndicalistes et militants de gauche - ce qui lui vaut d’être représenté par certains opposants sous les traits d’un clone d’Adolf Hitler -, a sciemment empêché la libération de Betancourt ! Ce qu’avait du reste vigoureusement dénoncé le président équatorien Correa : "Regardez la bassesse d’Alvaro Uribe, il savait qu’en mars douze otages allaient être libérés, parmi eux Ingrid Betancourt. Il le savait et il a utilisé ses contacts pour monter ce traquenard et faire croire au monde qu’il s’agissait de contacts politiques et pour lancer un écran de fumée sur son action injustifiable".Il revient ensuite sur la "libération" d'Ingrid Bétancourt, pour rappeler que plusieurs informations concordantes indiquent qu'il y a eu probablement versement de rançon (quelques millions de dollars) et promesse (par notre président) d'asile pour les FARC renonçant à la lutte armée. Dans le même temps, exactement, un autre Sarkozy, moins directement souriant, laisse extrader vers l’Italie de son ami fasciste Berlusconi une femme qui a depuis longtemps renoncé à la lutte armée. Libérez Marina Petrella !
 
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