Parfois les romans vieillissent mal. Celui-ci a une cinquantaine d'années, il raconte les péripéties de rares survivants à une épidémie foudroyante qui anéantit presque toute l'humanité. Cela se passe aux Zétats-Zunis, c'est plein de bonnes intentions...
Mais l'écriture de George Stewart, comme indiqué dans la préface, est remarquable, en anglais (un exemple est donné), mais aussi dans la traduction française.
Et en cette période où l'avenir de notre planète commence légitimement à nous inquiéter (sauf chez les gérontophiles de l'UMP, qui savent leur électorat trop vieux pour avoir un quelconque souci de l'avenir...), cette lecture est édifiante...
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