Ce devait être le seul post de ce nom, mais bon, la vie est là... Ce roman de Pierre Pelot (de son vrai nom Pierre Grosdemange, mais pourquoi donc avoir pris un pseudo) est à la fois intéressant et non dépourvu des lourdeurs propres à cet auteur (oui, son style est quelque peu pesant, entre le convenu et le suffisant...) L'intrigue est suffisamment intéressante pour maintenir le lecteur désoeuvré en haleine, assez légère pour lui permettre, comme moi dimanche, de maintenir une conversation audible avec les autres passagers du train Clermont-Ferrand-Paris...
C'est une attaque en règle contre la télévision, qui devient en fait le seul opium d'un peuple greffé de puces de localisation permettant aux archers de les abattre sur dénonciation amicale des voisins, collègues de travail, parents... Effrayant, si l'on songe à la ressemblance avec de vraies organisations qui portent un logo bleu et rouge... Vous ne voyez pas ?
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