Un second roman de Pascal Granier, et j’aime toujours autant cet auteur,
surprenant dans sa narrative, dans sa façon détachée de poser les décors, de
faire vivre ses personnages, de nous surprendre jusqu’à la dernière ligne.
Une
histoire qui mêle douleur, amour, cruauté, rédemption.
J’ai profité d’un retard
de TGV pour le terminer assis inconfortablement sur le sol de la gare. Mais le
confort de la lecture a effacé l’inconfort de ma position.
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