Quatrième de couverture alléchante : "La Terre, au 60ème siècle. L'humanité, loin d'avoir retenu ses erreurs, est régie par le tout-nucléaire. Dans ce monde artificiel dominé par la caste des directeurs de centrales dont la puissance s'étend sur la moitié de notre galaxie, les Terriens consacrent la quasi-totalité de leurs revenus à se faire sans cesse génétiquement modifier. Toujours plus beaux, plus forts, vivant toujours plus longtemps, ces Parfaits soignent leur ennui à coups de paradis factices, drogues et autres mondes virtuels. Mais cela ne suffit pas aux Maîtres de cet univers, qui veulent commercialiser le Loisir Absolu, susceptible de répondre à tous les désirs du consommateur et de l'entraîner dans une spirale de délices onéreux.
Un jour, un des techniciens chargés du projet disparaît mystérieusement. Seul un enquêteur d'élite, Stefan Marblatt, sera en mesure de le retrouver... au risque de mettre en péril l'équilibre de la galaxie en réveillant le Rêveur Orbital.
Entre humour et aventures, ce livre évoque le règne de l'apparence, la modification génétique, la civilisation des loisirs comme domestication du peuple. Dans la lignée des grands ouvrages d'anticipation et sur le rythme haletant d'un roman policier, Le Rêveur Orbital nous entraîne dans un monde qui pourrait bien devenir le nôtre.
De la science-fiction accessible à tous, même à ceux qui n'en lisent pas."
Accessible, certes, mais une écriture très inégale, et une fin un peu en jus de boudin... à peine bon à lire dans le train.
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