J'ai acheté deux romans de Clive Cussler à l'aéroport de Baltimore et j'ai aussi terminé le second.
Sur le style et sur l'écriture, pas grand chose à dire. Une maîtrise certaine, on se laisse prendre dans l'atmosphère du roman et dans le suspense.
Pour le reste, j'avoue que, comme après The Jungle, je ressens le même malaise. En étant bref, je dirais que l'idéologie américaine dominante trouve dans M. Cussler un soutien sans faille.
Dans Devil's Gate, c'est le président de la Sierra Leone qui essaie de s'émanciper de la dette et du FMI en faisant développer un improbable rayon de la mort basé sur un accélérateur de particules. Et voilà, cela gêne beaucoup Monsieur Cussler, et les États-Unis d'Amérique, qu'un état d'Afrique ait cette volonté d'émancipation. Le félon sera tué, et tout rentrera dans l'ordre. This book endorses the remorseless american imperialism. It sucks.
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