J'ai appris après coup que c'était le quatrième opus de Jack Mac Devitt dans la série commençant par Les machines de Dieu que j'avais emprunté lors d'une visite dans ma famille. J'en ai donc encore deux à trouver et à lire...
Dans cette période où j'ai peu de temps pour lire, cela n'a pas été facile au début de retrouver le fil. Et puis, au fil des pages (600 environ), on se laisse prendre, même si la fin "heureuse" est désespérément hollywoodienne.
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