Un drôle de roman. La quatrième de couverture ne traduit que partiellement le contenu du roman, et encore moins son intérêt. Intérêt qui n'est pas lié à l'accrocheuse quatrième de couverture (encore que, certains soirs d'été déshinibés, je ne doute pas que cela puisse provoquer un certain effet) mais à la thématique, qui n'est pas sans affinité avec le Blood Music de Greg Bear, quand une matière devient vivante et transforme le monde selon sa volonté.
Une expérience de lecture à faire.
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