Les rares (si j'en crois le nombre de commentaires, mais peu importe, je ne recherche pas l'audience à tout prix) lecteurs de ce blog le savent déjà, je suis plein de contradictions (mon côté féminin ? non, je plaisante...) D'où ce premier post d'une nouvelle série... Tout ce que j'ai toujours voulu dire sans qu'on ose me le demander.
Le désir est-il simple phénomène chimique ou mécanique chez l'homme ? On peut se poser la question, simplement parce que déjà, le matin, nous sommes réveillés par un irrépressible afflux de sang là où ça fait du bien... si la douce moitié n'est pas en train d'émerger d'une nuit au sommeil tardif ou difficile...
Parfois, le courant passe dès cet instant-là, et l'on passe rapidement au jeu du missionnaire matutinal avec des variantes qui font monter la sève de l'aimée. Parfois, ce n'est qu'un rideau de fumée, cela se termine trop vite avec de la frustration chez les deux partenaires, et c'est là une chose qui ne se partage pas.
Le réveil est bien plus doux si l'on n'a pas à craindre l'arrivée inopinée (mais somme toute prévisible) d'un, deux ou trois enfants réveillés par la lumière du jour qui s'insinue dans les volets. Dans ce cas, les préliminaires peuvent enfin tenir leur rang.
Et j'avoue hésiter à vous en livrer plus pour cette fois. Le désir n'est-il pas exacerbé par la suggestion ?
Un peu plus de suggestion s'il vous plaît...............
RépondreSupprimerSi cela devient explicite, ce ne sera plus de la suggestion... Le matin, les sens se réveillent à des rythmes inégaux. L'odorat, le goût peuvent entrer en action et chercher à en savoir plus...
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